June 21, 2013

Dark Matter

(petite info rigolote pour la lecture -- enfin je trouve -- je l'ai écrit en mauvais auto-critique foireux... enjoy, ou pas)

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L'ambition... quel lourde tache lâche  et sombre à accomplir dans les actions qui semblent être les plus simples. "Matière Noire" voit le jour timidement avec une modestie non tempérée et une peur sans nom qui mène la danse des "clefs" de la machine à écrire, des craquements des os de la main si complexe et tant aimée. Tant que ce n'est pas de la masturbation, tout va bien et d'ailleurs, le sexe est mit sous silence car le charnelle n'a rien à voir avec cet éclat de lambeaux d'une vie en huis clos à 5 et plus quand l'intégrité d'un esprit se divise en paroles appropriées et en de multiples mouvements de forces. Des vecteurs de vie prédéfinis pour sombrer dans une ivresse au goût du jour. Des moments perdus, des espoirs réduits à néants... Des traces d'ironie qui décrivent l'imaginaire d'un monde en réseau dont on ne sort jamais. Voilà en gros ce à quoi je m'atèle depuis près d'un mois, voire même un peu plus mais c'est justement intéressant dans mon processus, de rendre compte de l'inutilité du temps fixé sur un calendrier. L'espace définit restera imperméable aux mouvements du temps dicté. L'espace avenir, à deviner, à découvrir dans les indices omniprésent d'un narrateur qui ne passe pas son temps à s'expliquer en de multiples points de vue trop de fois travaillés sans relâche... La division des choses importe dans sa cohérence avec l'oppression d'une atmosphère à s'approprié. Ne jamais être d'accord. Toujours être du même avis que les yeux qui lisent et relient les indices d'une matière insaisissable et périssable. "Matière Noire" se croit sans se vouloir. Elle est là sans le vouloir. Elle apparaît sans se montrer au monde. Elle reste caché. Elle est l'espace dans lequel se meuvent des cordes fermées sur des "extra-dimensions"... Le physique se fait quantique et l'émotion se compacte en de petits paquets sans but...